A l’invitation de l’association « Et Pourquoi Pas? » pour le festival éponyme en septembre 2018, j’ai passé une semaine de résidence à creuser la question de l’interdit. Le rendu devant le public de La Bifurk (Grenoble) était une proposition scénique minimaliste sur fond de sons transgression et de textes clamés.
Extrait d’un texte :
« Je ne transgresse pas, je réfléchis à la transgression. Je réfléchis à pourquoi je ne transgresse pas, j’enregistre des voix de personnes qui transgressent, je rencontre des gens qui transgresseront sûrement un jour, et toujours je repense à ma mère, cette femme qui a beaucoup transgressé, je repense aux femmes de sa génération… Et j’ai bien conscience qu’un son de téléphone dans une création sonore c’est un peu transgressif. »
Photo : Mélanie Hoffmann
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