On pénètre l’imaginaire de la poésie.
On pratique la gymnastique du tréma.
Douce utopie…
Et c’est la vie, que d’ramer, s’égarer dans des rimes qui n’émanent de rien.
On en voudrait plus, on tergiverse,
Seul dans la nuit, on gît, girouette enragée.
Pause.
Et puis zen léthargie.
Il faut tout de même manger, gagner en grammes d’harmonie…
Fini le régime, il faut s’énerver,
Malaxer la magie des images,
Même au bord du vide givrant de la page-neige…
Et le matin, quand on émerge des rêves,
On reconnaît le génie de son karma.
C’était une réponse à Michel Houellebecq, poète en marge, malade imaginaire
J’ai écrit ce texte lors d’un atelier d’écriture animé par le slameur Bastien Mots Paumés. Les premiers mots de vers de Michel Houellebecq étaient proposés, il s’agissait d’en trouver la suite.
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